28 octobre 2008
Regarde
A l'ombre de tes yeux entre deux battements
De cils je rencontrais chacun de nos sourires
Et à chaque regard nous essayons d'écrire
Le suivant accroché à nos mots lentement
Sur nos bouches le temps dépose ses baisers
Qu'aux nôtres nous mêlons Se caressent les nuits
De la pulpe des doigts entre tes bras séduits
Pour que l'aurore riE sur les draps embrasés
A tes lèvres la vie se boit tel un nectar
Qui encre le plaisir et nos riants transports
S'éclaire chaque jour à la prose des corps
Mais chut Je te rejoins Tu m'attends Il est tard
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