1 décembre 2007
Autant
Le temps semble tressé
d'une corde
tendue
Qui s'étire sans fin
retenant les
absences
Et les phrases froissées
de nos
vers entendus
Distillent leur venin
en poison
d’impatience
Pour l'éclat d'un sourire
embellissant ta bouche
Pour croiser les hasards
envahissant tes
rêves
Pour qu'éclose ton rire
en
déferlante douche
Un seul de mes regards
et dans ce froid
une trêve
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